De la lumière partout !
Durant la fête de Soukot, d’immenses réjouissances animaient le Temple de Jérusalem. On y allumait des candélabres (menorot) hauts de 25 mètres de sorte qu’il n’y avait pas une seule cour de Jérusalem qui ne soit pas illuminée (Souca 51a et Rachi). La Guemara (Souca 53a) ajoute que les lumières qui brillaient dans l’enceinte sacrée permettaient aux femmes de trier le blé, opération qui nécessite beaucoup de lumière et de minutie.

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Le projet tourne autour de 4 axes :
- Le rappel de la philosophie de la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat et de la neutralité des pouvoirs publics envers les cultes. 
- Un meilleur suivi des associations régies par la loi de 1901, qui seraient le cadre ou le vecteur de discours ou de pratiques contraires aux lois ou menacées de dérives sectaires. 
- Le renforcement du contrôle des établissements scolaires confessionnels, hors contrat avec l’Etat, et des écoles clandestines.
- Le régime juridique des associations qui gèrent les mosquées. Aujourd’hui, l’immense majorité d’entre elles relèvent du régime institué par la loi de 1901. Le gouvernement voudrait les pousser à passer sous celui de la loi de 1905.

M. Albert Elharrar, président de la communauté et le Rabbin Sénior ont pris la parole, puis le Ministre l'Intérieur a délivré son message en remerciant M. Elharrar, pour ses propos chaleureux à l'égard des forces de l'ordre. Il a affirmé qu'il lutterait sans relâche contre l'islamisme radical et a rendu hommage à la contribution majeure des compatriotes juifs à la France. En outre, il a rappelé la mémoire de Georges Mandel, grand résistant et grand Ministre de l'Intérieur.

Il y a eu plus de 250 inscrits à la Communauté Juive de Nancy pour Yom Kippour. La synagogue a accueilli Michel Heymann et la chorale de Nancy (les choristes avaient été testés, résultats reçus avant chabbat), qui a accompagné tous les offices ashkénazes. La salle Raugraff, mise à la disposition par la Mairie a accueilli les offices séfarades conduits par Elie Botbol. Kippour, entre remontée de la contamination virale et nouvelle flambée terroriste s’est déroulé avec le plus grand sérieux sanitaire et sécuritaire.

Kippour dans les communautés isolées
Cette année, malgré la pandémie du coronavirus, les jeunes de la 'Hazac, sont partis dans les petites communautés de Province pour diriger des offices et compléter les Minyan à l’occasion des célébrations de Roch Hachana et de Kippour, notamment à Amiens, Angers, Beauvais, Châlons-en-Champagne, Poitiers et Troyes, en gardant et en faisant respecter les gestes barrières. Merci à tous ces jeunes qui ont animé ces offices, souvent au détriment de leur propre communauté.

Simon Wiesenthal a cherché toute sa vie à comprendre ce qui lui est arrivé, en ce matin ensoleillé de 1942. Seul, dans la pénombre d’une chambre, il entend ce jour-là la dernière confession de Karl. Pendant la guerre, celui-ci a assassiné des innocents et il lui demande grâce.
Peut-on pardonner l’impardonnable ? Peut-on accorder soi-même une rédemption au nom d’autres victimes ? 
Seul en scène, Thierry Lhermitte donne vie à tous les personnages de cette incroyable histoire, ayant rencontré un succès mondial depuis sa parution en 1969. Son récit est éclairé par les témoignages de grandes personnalités, qui ont répondu à la question de Simon Wiesenthal : et vous, qu’auriez-vous fait à ma place ?
Tarif négocié pour les adhérents du Consistoire : 30 € au lieu de 41 € en Catégorie 1